le vaciller C’est un mĂ©canisme très nĂ©cessaire pour nos yeux, mais si ce n’Ă©tait de la façon dont le cerveau rĂ©ajuste le globes oculairesCela pourrait devenir très ennuyeux.
Et c’est que, malgrĂ© la fermeture inconsciente des yeux toutes les quelques secondes, notre vision pas interrompu et nous ne sommes mĂŞme pas conscients de la moments d’obscuritĂ© rĂ©sultant.
C’est parce que chaque fois que nous clignons des yeux repositionner les globes oculaires, afin que l’image qui atteint nos yeux soit stabilisĂ©e, en Ă©vitant interruptions ennuyeuses. Cette thĂ©orie rĂ©sulte des conclusions d’une Ă©tude rĂ©cemment publiĂ©e dans Current Biology et vaut la peine d’ĂŞtre connue, car elle montre une fois de plus Ă quel point le travail de notre cerveau infatigable.
Clignotement et obscuritĂ©, pourquoi l’adaptation des globes oculaires est-elle si importante?
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Il s’avère que tout notre corps ne fonctionne pas comme un mĂ©canisme horloger suisse, car nous avons certains inefficace; Bien que, heureusement, notre cerveau soit toujours en alerte, pour rĂ©soudre les mĂ©saventures que celles-ci pourraient causer.
Un exemple clair est celui de notre muscles oculaires, puisqu’ils sont très lent et imprĂ©cis lorsqu’il s’agit de stabiliser l’image que nous voyons entre clignotement et clignotement.
Par conséquent, pour résoudre le changement de position du globe oculaire Après avoir ouvert et fermé les yeux, le cerveau travaille en adaptant le signes de moteur instantanément, et en encourageant notre regard à pointer où vous devez pointer.
Une expĂ©rience ennuyeuse pour Ă©tudier l’adaptation des globes oculaires
Pour arriver Ă cette conclusion, les chercheurs responsables de l’Ă©tude ont rĂ©alisĂ© une expĂ©rience qui n’aurait pas dĂ» ĂŞtre particulièrement amusante pour leurs participants; car il consistait essentiellement Ă regarder un un point fixe situĂ© sur un Ă©cran, Ă l’intĂ©rieur d’un pièce sombre.
Ce qu’aucun des volontaires ne savait, c’est que pendant qu’ils clignaient des yeux, le point changeait lĂ©gèrement de position, passant inaperçu Ă la partie consciente de leur esprit, mais pas Ă leur cerveau, qui Ă©tait en charge de adaptez vos globes oculaires pour Ă©viter les perturbations qui en rĂ©sultent.
Par conséquent, il est clair que, comme prévu, le cerveau est responsable de calibrer ce que nous voyons avant et après le clignotement, promouvoir le adaptation des globes oculaires pour que le résultat ne nous rend pas fous, avec les images changées de place. Que ferions-nous sans lui?