La Tesla des mersIl s’agit du premier cargo entièrement autonome avec lequel vous souhaitez atteindre l’objectif de zĂ©ro Ă©mission, car il est Ă©galement Ă©lectrique.
La conduite Ă©lectrique est l’avenir des transports et pas seulement des voitures. Il semble clair que tous les constructeurs automobiles se tournent vers l’avenir, sur la crĂ©ation de technologies de propulsion Ă©lectrique fiables et de systèmes de conduite complètement autonomes capables de transporter des passagers sans qu’ils n’aient Ă se soucier de quoi que ce soit.
Maintenant le technologie autonome vous pouvez également révolutionner le transportY compris les ports de mer. Deux entreprises norvégiennes travaillent déjà sur ce qui sera le premier cargo sans équipage ni carburant.
Réduction des coûts de maintenance de 90%
Le projet cherche un idĂ©al: un navire pour transporter de grandes charges sur de courtes distances, un navire qui nĂ©cessite un entretien minimal, qui utilise l’Ă©lectricitĂ© pour se propulser et qui n’a pas besoin d’Ă©quipage Ă bord pendant le voyage. Son nom est YARA Birkeland.
Après son dĂ©veloppement, il y a deux entreprises norvĂ©giennes, Yara International et Kongsberg Gruppen, cette dernière mettra la technologie pour guider le navire, puisqu’elles sont des experts en systèmes de navigation.
La construction de ce navire autonome ne sera pas bon marchĂ©, le projet du navire est estimĂ© Ă 25 millions de dollars, un chiffre trois fois plus Ă©levĂ© que ceux habituellement traitĂ©s dans la construction de ce type de cargo. L’avantage? le Ă©conomies de coĂ»ts Ă long terme.
Selon ses calculs, un navire de ce type, d’une capacitĂ© de 100 conteneurs, qui n’a pas besoin d’Ă©quipage ni de remplissage de rĂ©servoirs de carburant, permettrait d’Ă©conomiser jusqu’Ă 90% des coĂ»ts d’exploitation annuels.
Un tel navire aurait aussi une autre conséquence: il serait capable de remplacer 40000 voyages en camion avec des engrais traversant les zones urbaines du sud de la Norvège.
Pour remplacer l’Ă©quipage, le navire autonome sera guidĂ© par positionnement GPS et sera Ă©quipĂ© de camĂ©ras, radars et capteurs. LIDAR cela vous permettra d’analyser l’environnement et de respecter votre itinĂ©raire, y compris des variations si nĂ©cessaire (par exemple lors de la traversĂ©e d’autres bateaux).
Si tout se passe comme prĂ©vu, en 2018, il devrait ĂŞtre sur l’eau, en 2019, il effectuerait dĂ©jĂ des opĂ©rations Ă distance et d’ici 2020, il pourrait ĂŞtre en mesure de faire des voyages complets de manière complètement autonome, au moins jusqu’Ă cette annĂ©e, la lĂ©gislation ne devrait pas ĂŞtre mis Ă jour.