Deux nouvelles importantes sur la controverse Uber pour un vendredi, une excellente pour l’entreprise, une autre pas tellement.
UBER Freedom, un groupe composĂ© de conducteurs qui utilisent l’application, appelle Ă une grève les 16, 17 et 18 octobre dans plusieurs villes des États-Unis (dont Houston, San Francisco, Chicago et Los Angeles), une grève qui vise Ă amĂ©liorer les conditions de travail (augmentation du taux minimum Ă 7 dollars, valeur de 7 dollars pour l’annulation d’un voyage et possibilitĂ© pour eux de recevoir des pourboires des utilisateurs).
L’Ă©vĂ©nement de grève sur Facebook compte dĂ©jĂ 1200 confirmations (sur plus de 3000 invitations), un petit nombre considĂ©rant qu’il y a plus de 160000 chauffeurs Uber dans le pays, mais cela peut faire beaucoup de bruit contagieux.
En revanche, de la Haute Cour du Royaume-Uni, une bonne nouvelle arrive pour l’entreprise: Uber peut ĂŞtre utilisĂ© Ă Londres de la mĂŞme manière que jusqu’Ă prĂ©sent, sans avoir Ă transformer le système en un nouveau taxi ou obtenir de nouvelles licences. Étant donnĂ© que les tĂ©lĂ©phones des chauffeurs Uber ne sont pas des taximètres, les mĂŞmes lois ne peuvent pas ĂŞtre appliquĂ©es, il y a donc un accès gratuit afin que le service puisse continuer Ă se dĂ©velopper dans le pays.
Pour le meilleur ou pour le pire, Uber est toujours d’actualitĂ©.